Quand on parle de traductions techniques, on pense généralement aux traductions scientifiques, pleines de termes complexes ou sectoriels.
Pourtant, on oublie souvent que presque toutes les traductions peuvent être considérées comme « techniques ». Cela peut-être, par exemple un site qui parle de mode ou de localisation de programmes, qui nécessitent des termes et des commandes spécifiques.
Les traductions peuvent être partagées en 3 grandes catégories :
– technico-scientifiques
– juridiques et assermentées
– littéraires
La première catégorie comprend toutes les traductions faites pour les entreprises de toutes sortes. Parfois, même les traductions de marketing contiennent des termes techniques spécifiques qui doivent être respectés. Il est donc très souvent difficile, voire impossible, de séparer clairement les différents types de traduction.
On peut donc dire qu’une bonne partie des traductions professionnelles sont techniques (manuels, modes d’emploi, sites web et nombre de brochures) ou scientifiques (essais, documents médicaux). Le deuxième type de traductions est représenté par les traductions juridiques et/ou assermentées, qui nécessitent une terminologie bien précise, ainsi que tout un ensemble de formules spécifiques typiques du domaine juridique et bureaucratique. Les notaires, les avocats et les entreprises utilisent des traductions juridiques et assermentées dans leur pratique quotidienne.
Le dernier type de traduction est représenté par les « traductions littéraires », c’est-à-dire les traductions de romans ou de livres pour enfants. Souvent, dans ce type de traduction, la langue est certes moins technique, mais la principale difficulté consiste à transposer dans une autre langue, si possible, le style et les intentions de l’auteur.
Les maisons d’édition et les agences de traduction font appel à des écrivains bilingues, qui ne se contentent pas de traduire le texte, mais le réécrivent complètement en l’adaptant aux goûts et aux expressions du pays de référence.